 | Voltaire - 1877
...moments ; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien1 Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien.... | |
 | Benjamin Gastineau - 1878 - 356 pages
...moments : Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes...la perte Des erreurs de mes premiers ans ; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre L'Amitié vint... | |
 | Benjamin Gastineau - 1878 - 356 pages
...moments : Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes...insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je deplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans ; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses... | |
 | Arsène Houssaye - 1878 - 249 pages
...moments, Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes...mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Du ciel un jour daignant descendre, L'Amitié vint à mon secours : Elle était peut-être aussi tendre.... | |
 | Pierre-Marie Quitard - 1878 - 520 pages
...me consoliez Des amertumes de la ue? On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'êtrc aimable, C'est une mort insupportable, Cesser de vivre,...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
 | François Marie Arouet de Voltaire - 1880
...prend par la main, M'avertit que je me retire. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! Oue le matin louche à la nuit ! Je n'eus qu'une heure; elle est finie. Nous passons; la race qui... | |
 | Giosuè Carducci - 1884 - 318 pages
...già cit. del Ritter. Quoi! pour toujours vous me fuyez. Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel gui me consoliez Des amertumes de la vie! On meurt deux...mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Certi pesanti illustratori delle poesie leggiere di Voltaire, il Rivarpl li paragonava ai commessi... | |
 | Giosuè Carducci - 1884 - 318 pages
...toujours vous me fuyez. Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes fie la vie! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser...mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Certi pesanti illustratori delle poesie legyiere di Voltaire, il Rivarol li paragonava ai commessi... | |
 | Giosuè Carducci - 1884 - 318 pages
...vu: ediz. già cit. del Ritter. Quoi! pour toujours vous me fuyez. Tendresse, illusion, folie, Dans du ciel qui me consoliez Des amertumes de la vie!...meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'Atre aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Certi pesanti illustratori... | |
 | Eugène Crépet - 1887
...moments : Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez. Tendresse , illusion , folie , Dons du ciel , qui me consoliez Des amertumes...mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. 209 Et mon âme , aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre... | |
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