 | Charles Sarolea - 1914 - 592 pages
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 | Maurice Allem - 1919 - 624 pages
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 | 1911 - 202 pages
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 | Voltaire - 1920 - 460 pages
...moments; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
 | Gustave Rudler - 1923 - 546 pages
...douloureusement le vieux thème mélancolique sur lequel Voltaire soupirait à Madame du Châtelet : On meurt deux fois, je le vois bien. Cesser d'aimer...mort insupportable : Cesser de vivre, ce n'est rien. L'esthète encore, chez Marcel Proust, le causeur d'art et de littérature est semblablement précieux,... | |
 | Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - 1923 - 494 pages
...moments; 5 Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! 10 On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable;... | |
 | Émile Genest - 1923 - 400 pages
...supporter sans y penser, que la pensée de la mort sans péril. (PASCAL, Pensées. Section II, 166.) ^ On meurt deux fois, je le vois bien ; Cesser d'aimer et d'être aimab'e, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. (VOLTAIRE, Mélangea. Stances.)... | |
 | Albert Maurice Noblet - 1924 - 520 pages
...réussi dans les Stances à M"" Lullin et dans celles à Mme du Châtelet où l'on peut lire ces vers : On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer...mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. Mais c'est probablement la petite pièce « Lea Vous et les Tu » qui a remporté le plus de suffrages.... | |
 | François Tulou - 1921 - 408 pages
...vous me fuye:',, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la viel On meurt deux fois, je le vois bien: Cesser d'aimer...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
 | Hugh Percy Jones - 1929 - 614 pages
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Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien. 
