D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un... Iphigénie. Phedre. Esther. Athalie - Page 97de Jean Racine - 1801Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean Racine - 1856 - 690 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ue pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flanes ma raison égarée : D'un incurable amour remedes impuissants! b:n vain... | |
| Jean Racine - 1856 - 1022 pages
...transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par des vœux assidus, je crus les détourner...leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissans! En vain sur les autels ma main brûloit l'encens : Quand ma bouche imploroit le... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. - D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| Voltaire - 1860 - 636 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. II est bien clair que puisque Athènes lui montra son superbe ennemi Hippolyte, elle vit Hippolyte.... | |
| Jean Racine - 1862 - 684 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| William Ireland Knapp - 1863 - 500 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| P. Barrère - 1863 - 576 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Voilà bien tous les signes de l'obsession d'une divinité supérieure. Cet amour monstrueux ne réside... | |
| Jean Racine - 1864 - 750 pages
...parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoulables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables,...leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants '! En vain sur les autels ma main brûloit l'encens : Quand ma bouche imploroit... | |
| Jean Racine - 1865 - 722 pages
...Racine : Je palis à sa vue,Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voj oient plut D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables'....Je lui bâtis un temple , et pris soin de l'orner J ; 280 De victimes moi-même à toute heure entourée , Je cherchois dans leurs flancs ma raison égarée.... | |
| Jean Racine - 1865 - 722 pages
...dans les vers de Racine : Je pâlis à sa vue; D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables1. Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner1 ; a 80 De vietimes moi-même à toute heure entourée, Je cherehois dans leurs flancs ma raison... | |
| |