D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un... Iphigénie. Phedre. Esther. Athalie - Page 97de Jean Racine - 1801Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 390 pages
...celle de l'oreille, et la peinture avec la sculpture? Opposez seulement ces deux tableaux entre eux : Je lui bâtis un temple et pris soin de l'orner. De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. En vain sur les autels ma main brûlait l'encens et... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 402 pages
...l'oreille, et la peinture avec la sculpture? Opposez seulement ces deux tableaux entre eux: Je lui Mlis un temple et pris soin de l'orner. De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs lianes ma raison égarée. En v.iin sur les autels ma main brûlait l'encens et... | |
| Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - 1894 - 846 pages
...yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; •Je sentis tout mon corps et transir et brûler; it- reconnus Vénus et ses feux redoutables; D'un sang...inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je Ira bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais... | |
| Jean Racine - 1895 - 736 pages
...Je reconnus Vénus cl ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables, l'ar des vœux assidus je crus les détourner : Je lui...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants 1 ! En vain... | |
| Karl Julius Ploetz - 1903 - 870 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables; D'un sang...poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crns les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pages
...et transir et brûler ; f£** ***^ Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; ^y^,, «SX. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang...Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; to, i _ ' De victimes moi-même à toute heure entourée, //'.. ^i f Je cherchais dans leurs flancs... | |
| Jean Racine - 1910 - 138 pages
...yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; 275 Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang...Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; 280 De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée.... | |
| Jean Racine - 1913 - 344 pages
...Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - 1921 - 516 pages
...poursuit tourments inévilables. Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un^emple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, -Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un incurable amour remèdes impuissants! lin vain... | |
| David Moore Robinson - 1924 - 322 pages
...M.es yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Racine's comment was that he had "rien vu de plus vif ni de plus beau dans toute l'antiquité." In... | |
| |