Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus... Oeuvres de M. de Voltaire - Page 66de Voltaire - 1775Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Louis Mayeul Chaudon - 1786 - 664 pages
...l'endroit le plus teau » Mais faut que , d'un trait defes fatales mains , La Parque l'eut raye eu nombre des humains , On reconnut le prix de fa Mufe éclipfée. L'aimable Comédie , avec lui terrafféc , Eavain d'un eaup Ji rude efpéra revenir , Et fur fes brodequins ne f fut plus Je tenir.... | |
| Voltaire - 1789 - 502 pages
...comiques de toutes les nations anciennes & modernes. Defprctux a dit : Mais fitôt que , d'un traie de les fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de fa mufe éclipféc ; L'aimable comédie , avec lui terraffée , Envahi d'un coup C rude efpéra revenir , Et... | |
| Voltaire - 1792 - 488 pages
...eft audeflus des comiques de toutes les nations anciennes & modernes. Defpréaux a dit : Mais fitôt que d'un trait de fes fatales mains, La Parque l'eut...de fa mufe éclipfée. L'aimable comédie, avec lui terraffée , En vain d'un coup fi rude efpéra revenir, Et fur fes brodequins ne put plus fe tenir.... | |
| Voltaire - 1792 - 358 pages
...comiques de toutes les nations anciennes & modernes. Dcfpréaux a dit : N Mais fuit que d'un trait île fes fatales mains, La parque l'eut rayé du nombre...reconnut le prix de fa mufe éclipfée. L'aimable comtdie, avec lui terraitée, En vain d'un coup fi rade efpéra revenir , Et fur f--s brodequins ue... | |
| Charles Yves Cousin Cousin d'Avallon (called) - 1801 - 152 pages
...déclarant la guerre, Voulait -Venger la cour immolée au parterre ; Mais sitôt que , d'un trait de ses fatales mains , La parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable coitieitie avec lui tirrassùe, En vain u'un coup *i rude espère revenir... | |
| Cousin d'Avallon - 1801 - 156 pages
...Voulait venger la cour immolée au parterre ; • Mais Miul que , d'un trait de ses fatales inains , La parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimal3!r comedie avec lui terrassée , En \ain i>'uii coup «i rude espère revenir,... | |
| Jean François Cailhava - 1802 - 378 pages
...Furent des sots esprits , à nos yeux , rebutés. Mais sitôt que d'un trait de ses fatales mains, I/a Parque l'eut rayé du nombre des humains ,• On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. Un abbé dont on tait le nom , et qui n'avoitpas épargné Molière, de son vivant... | |
| Jean-François de La Harpe - 1804 - 450 pages
...déclarant la guerre, Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais sitôt que d'un trait de ses futaies mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable comédie, avec lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenir... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 pages
...d'ccuvre nouveau , Et secouoient la täte à l'endroit le plus beau Mais si-tôt que , d'un trait d« ses fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. L'aimable Comédie avec lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenu... | |
| Jean Racine - 1808 - 542 pages
...critiques en fureur déchiroient les pièces de Molière vivant j Mais sitôt que d'un trait de ses fatales mains, La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. Cette tardive satisfaction d'un public long-temps injuste, ne fut pas même accordée... | |
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