 | Jacques Cazotte, Gérard de Nerval - 1871 - 346 pages
...cette prérogative? — C'est la seule qui lui restera : et ce sera le Roi de France. » Le maître de la maison se leva brusquement, et tout le monde avec lui. Il alla vers M. Cazotte, et lui dit avec un ton pénétré : « Mon cher monsieur Cazotte , c'est assez faire durer cette facétie lugubre;... | |
 | Auguste Debay - 1880 - 496 pages
...cette prérogative ? » — C'est la seule qui lui restera, ce sera le roi de France. » Le maître de la maison se leva brusquement , et tout le monde avec lui ; il alla vers Cazotte, et lui dit d'un ton pénétré : » — Mon cher Cazotte, c'est assez faire durer cette facétie... | |
 | Victor Du Bled - 1909 - 328 pages
...cçtte prérogative ? — C'est la seule qui lui restera, et ce sera le roi de France. » Le maître de la maison se leva brusquement, et tout le monde avec lui. J'ai résumé le récit de La Harpe (i), récit imaginé après coup, en 1796, où l'écrivain s'élève... | |
 | 1912 - 600 pages
...aura celte prérogative ? — G'esl la seule qui lui restera ; et ce sera le roi de France. Le maîlre de la maison se leva brusquement et tout le monde avec lui. Il alla vers M. Gazolle et lui dit avec un ton pénétré : « Mon chez M. Gazotte, c'esl assez faire durer celte facétie... | |
 | Georges Anquetil - 1925 - 652 pages
...cette prérogative? « — C'est la seule qui lui restera : ce sera le roi de France. « Le maître de la maison se leva brusquement, et tout le monde avec lui; il alla vers Cazotte et lui dit, d'un ton péremptoire : - Motl cher Cazotte, c'est assez faire durer cette facétie... | |
 | 1806 - 614 pages
...maison se leva brus* quement , et tout le monde avec lui. II alla vers M. Cazotte , et lui dit avec ua ton pénétré : mon cher M. Cazolte, c'est assez...lugubre. ."Vous la poussez trop loin, et jusqu'à comi>i omettre la société où vous êtes et vous-. même. Cazotte ne répondit rien , et se disposait... | |
 | 1888 - 884 pages
...» — C'est la seule qui lui testera, et ce sera le roi de France. Le maître de la maison se leTa brusquement et tout le monde avec lui. Il alla vers M. Cazotte et lui dit avec un ton pénétré : Mon cher monsieur Cazotte, c'est assez faire durer cette facétie lugubre... | |
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C'est la seule qui lui restera, et ce sera le roi de France. » Le maître de la maison se leva brusquement, et tout le monde avec lui : il alla vers M. 
