| 1827 - 584 pages
...se parler, se chercher? Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ? Hélas I ils se voyaient avec pleine licence; Le Ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leurs penchants amoureux. Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut... | |
| Francis Barry Boyle] [St. Leger - 1829 - 334 pages
...Le ciel de leur soupirs approuvait 1'innocence. Us suivaient, sans remords, leur penchant amoureur ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entiere, Je me cachais du jour, je fuyais la lumiere • — These, these, were the very reflections... | |
| Jean Racine - 1829 - 300 pages
...approuvoit l'innocence ; Ils suivoient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux . Et moi , triste rebut de la nature entière , Je me cachois nu jonr, je fnyois la lumière ; 3,a mort est le seul dieu que j'osois implorer. 19 J'atlemlois... | |
| Jean Racine - 1829 - 724 pages
...approuvoil l'innocence; Ils suivoicnlsaus remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levoieul clairs et sereins pour eux ! Et moi , triste rebut de la nature entière, Je me earhois au jour, je fuyois la lumière; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. J'allendois... | |
| Jean Racine - 1829 - 460 pages
...approuvoit l'innocence; Ils suivoient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux : Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière ; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. J'attendois... | |
| Voltaire - 1834 - 566 pages
...delirant reges, plectuntur Achivi. 6 Ces vers rappellent ceui de Phèdre : Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait...les jours se levaient clairs et sereins pour eux. VARIANTES D'ADÉLAÏDE DU GUESCLIN, D'APHES LE uAMsciuT DE 1734. ACTE PREMIER. SCENE PREMIERE. L'ame... | |
| 1836 - 566 pages
...heureux ici bas pouvait naître. BOILHIU. Ce gage est le premier qu'elle attend de ma foi. RÂCIICX. Je me cachais au jour , je fuyais la lumière ; La mort est le seul Dieu que j'osais implorer. Idem. Et serez-vous le seul que TOUS n'oserez croire ? Idem. Ah ! c'est le moindre prix qu'il se doit... | |
| Jean-François de La Harpe - 1839 - 430 pages
...souvent se parler, se chercher? Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait...le moment où j'allais expirer. Me nourrissant de flel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée , Je n'osais dans mes pleurs... | |
| Jean Racine - 1842 - 458 pages
...se parler, se chercher? Dans le fond des forêts allaient- ils se cacher? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence : Le ciel de leurs soupirs approuvait...Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux I Et moi , triste rebut de la nature entière , Je me cachais au jour, je fuyais la lumière: La mort... | |
| 1843 - 1102 pages
...élevé de touchante tristesse où puisse jamais parvenir l'élégie moderne : Hélas! ils se voyaient avec pleine licence, Le ciel de leurs soupirs approuvait...les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Ces vers divins, que depuis long-temps cependant nous nous répétions sans en être émus, accoutumés... | |
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