Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des... La littérature française au dix-septième siècle - Page 334de Paul Albert - 1892 - 467 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Sylvaine Landes-Ferrali - 2004 - 484 pages
...réveilliez. (...) Et pour adoucir j'ajoutai, en continuant déjouer avec elle la scène d' Esther (...): Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse31 (et à part moi je pensais : « Si, elle me lasse souvent »)32. Les termes sont à peu près... | |
| Jean Racine - 2003 - 37 pages
...inspire, à leur pompeux éclat mêlent peu de douceur, et fatiguent souvent leur triste possesseur. Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin... | |
| Académie nationale de Reims - 1846 - 734 pages
...les temps modernes , ont possédé, avec l'amour du beau et le sentiment profond de l'art antique, la Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin... | |
| University of Bombay - 1906 - 340 pages
...pompeux éclat mêlent peu de douceur, Et fatiguent souvent leur triste possesseur. Je ne trouve qu'eu vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence te la paix :, Ou... | |
| |