 | Evariste Bavoux - 1840 - 496 pages
...stoïciens regardaient comme une chose vaine les richesses , les grandeurs , la douleur et le plaisir, ils n'étaient occupés qu'à travailler au bonheur...exercer les devoirs de la société. Il semblait qu'ils regardaient cet esprit sacré qu'ils croyaient être en eux-mêmes, comme une espèce de providence... | |
 | Pierre Leroux - 1840 - 528 pages
...inconséquence, et, s'étant efforcés de se faire Dieux, regardèrent, ainsi que dit Montesquieu, cet Esprit sacré qu'ils croyaient être en euxmêmes comme une espèce de Providence favorable qui devait veiller sur le genre humain. Mais, encore une fois, c'était une inconséquence que les théoriciens... | |
 | Jean-Baptiste Bordas-Demoulin - 1846 - 624 pages
...chose vaine les richesses , les grandeurs humaines , la douleur, les chagrins , le plaisir ; qu'ils n'étaient occupés qu'à travailler au bonheur des...la société , ils croyaient tous que leur destin est de travailler pour elle ; d'autant moins à charge que leur récompense était toute dans eux-mêmes... | |
 | Jean-Baptiste Bordas-Demoulin - 1846 - 632 pages
...chose vaine les richesses , les grandeurs humaines , la douleur, les chagrins , le plaisir ; qu'ils n'étaient occupés qu'à travailler au bonheur des...la société , ils croyaient tous que leur destin est de travailler pour elle ; d'autant moins à charge que leur récompense était toute dans eux-mêmes... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 676 pages
...vaine les richesses, les grandeurs humaines, la douleur, les chagrins, les' plaisirs, ils n'étoient occupés qu'à travailler au bonheur des hommes , à exercer les devoirs de la société ; il sembloit qu'ils regardassent cet esprit sacré qu'ils croyoient être en eux-mêmes comme une espèce... | |
 | Jules Romain Barni - 1865 - 632 pages
...penser que je suis chrétien, je ne pourrais m'empôcher de mettre la destruction de la secte de Zênon au nombre des malheurs du genre humain. Elle n'outrait...regardassent cet esprit sacré qu'ils croyaient être eu eux-mêmes, comme une espèce de providence favorable qui veillait sur le genre humain. Nés pour... | |
 | Pierre Montée - 1865 - 262 pages
...protégera longtemps encore contre d'injustes critiques : « Pendant que les stoïciens considéraient comme une chose vaine les richesses, les grandeurs...providence favorable qui veillait sur le genre humain 1 . » 1 Montesquieu, Esprit des lois, liv. XXIV, chap. x. CHAPITRE III IDENTITÉ DU SAVOIR ET DE LA.... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 474 pages
...vaine les richesses, les grandeurs humaines, la douleur, les chagrins, les plaisirs, ils n'étoient occupés qu'à travailler au bonheur des hommes , à exercer les devoirs de la société ; il sembloit qu'ils re> gardassent cet esprit sacré qu'ils croyoient être en eux-mêmes comme une espèce... | |
 | Adolphe Franck - 1872 - 526 pages
...cesser de penser que je suis chrétien, je ne pourrais m'empêcher de mettre la destruction de la secte de Zénon au nombre des malheurs du genre humain....des hommes, à exercer les devoirs de la société. » Montesquieu a raison, mais à une condition pourtant : c'est qu'en écrivant ces lignes il pensait... | |
 | Adolphe Franck - 1872 - 510 pages
...penser que je suis chrétien, je ne pourrais m'empêcher de mettre la destruction de la secte de Zenon au nombre des malheurs du genre humain. Elle n'outrait...des hommes, à exercer les devoirs de la société. » Montesquieu a raison, mais à une condition pourtant : c'est qu'en écrivant ces lignes il pensait... | |
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... non, il n'ya point eu après lui de prince plus digne de gouverner les hommes. Pendant que les stoïciens regardoient comme une chose vaine les richesses, les grandeurs humaines, la... 
