| A. Bonnaire - 1846 - 468 pages
...seconde fois par ce qui suit, comme dans cette phrase de Fénelon : « Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...moisson dorée, des prairies pleines de troupeaux, etc. » § S54. II. Lorsque le substantif pris dans un sens partitif est suivi d'un adjectif, on fait encore... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1848 - 738 pages
...phrase tirée de Fénelon : « Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans aperce« voir des villes opulentes, des maisons de campagne agréablement...équivaut à celle-ci : « Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans aperce« voir une portion ou quelques-unes de toutes les villes opulentes,... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1848 - 348 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé d' un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...situées, des terres qui se couvraient tous les ans d' une moisson dorée sans se reposer jamais, des prairies pleines de troupeaux, des laboureurs qui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1848 - 456 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...des maisons de campagne agréablement situées, des En vain je leur représentai que nous n'étions pas Phéniciens ; à peine daignèrent-ils m'écouter... | |
| Frédéric Bastiat - 1851 - 412 pages
...l'attribue, nou à leur propre sagesse, mais à celle de leurs rois. « Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...campagne agréablement situées, des terres qui se couvrent tous les ans d'une moisson dorée, sans se reposer jamais ; des prairies pleines de troupcaux... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1852 - 418 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé1' d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages, sans apercevoir des villes opulentes, des maisons de campagne18 agréablement situées, des terres qui se couvraient tous les ans19 d'une moisson dorée20... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1853 - 420 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...qui se couvraient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais, des prairies pleines de troupeaux, des laboureurs qui étaient accablés sous... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1853 - 478 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre infini de canaux. JNous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...campagne agréablement situées, des terres qui se couvroient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais, des prairies pleines de troupeaux... | |
| Frédéric Bastiat - 1854 - 590 pages
...est encore pis, que d'elle-même rhumanité tend vers sa dégrada« Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes,...campagne agréablement situées, des terres qui se couvrent tous les ans d'une moisson dorée, sans se reposer jamais ; des prairies pleines de troupeaux;... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1854 - 438 pages
...semblable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans apercevoir des villes opulentes, des maisons de campagne 1 Le port et la terre, &o. Pro- Usqne coloratis amnis devexus ab bably an imitation of Virgil : —... | |
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