Portugal depuis la perte de leurs lois, sans ce pouvoir qui arrête seul la puissance arbitraire ? Barrière toujours bonne, lorsqu'il n'y en a point d'autre : car, comme le despotisme cause à la nature humaine des maux effroyables, le mal même qui... De l'esprit des lois - Page 37de Charles De Secondat Baron Montesquieu - 1777 - 610 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon - 1893 - 454 pages
...arbitraire : bar« rière toujours bonne quand il n'y en a pas d'autres; car, « comme le despotisme cause à la nature humaine des maux « effroyables, le mal même qui le limite est un Lien. » Vous l'entendez, lecteur, le pouvoir du clergé serait un mal limitant un autre mal... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1896 - 504 pages
...puissance arbitraire; barrière toujours bonne lorsqu'il n'ya point d'autre, car comme le despotisme cause à la nature humaine des- maux effroyables, le mal même qui le limite est un bien... Les A-nglais, pour favoriser la liberté, ont ôté toutes les puissances inter médiaires... | |
| Jean-Jacques Rousseau, Edmond-Paul Dreyfus-Brisac - 1896 - 506 pages
...puissance arbitraire; barrière toujours bonne lorsqu'il n'ya point d'autre, car comme le despotisme cause à la nature humaine des maux effroyables, le mal même qui le limite est un bien... Les Anglais, pour favoriser la liberté, ont ôté toutes les puissances inter médiaircs... | |
| Émile Faguet - 1902 - 318 pages
...arbitraire? Barrière toujours bonne lorsqu'il n'y en a point d'autres : car, comme le despotisme cause à la nature humaine des maux effroyables, le mal même qui le limite est un bien. Comme la mer, qui semble vouloir couvrir toute la terre, est arrêtée par les herbes... | |
| Mme. Élise Constantinescu Bagdat, Élise Constantinescu Bagdat - 1925 - 484 pages
...ces corps étaient néanmoins des barrières contre le despotisme ; « car, comme le despotisme cause à la nature humaine des maux effroyables, le mal même qui le limite est un bien » (3). La réalité a prouvé à quel point Montesquieu ne s'est point trompé. En effet,... | |
| Voltaire - 1768 - 700 pages
...arbitraire ? barrière toujours bonne lorfqu'il n'y en a point d'autre ; car % comme le defpotifme caufe à la nature humaine des maux effroyables , le mal même qui les limite eft un bien. On voit que dès l'abord l'auteur ne met pas une grande différence entre la... | |
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