 Qu'il va lentement le navire A qui j'ai confié mon sort ! Au rivage où mon cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés...  La Minerve française - Page 2891819Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Pierre Jean de Béranger - 1834 - 550 pages
...trouver un port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre ! terre ! là bas , voyez ! Ah ! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie ! (ter.} Oui, voilà les rives... | |
 | Pierre-Jean de Béranger - 1836 - 740 pages
...trouver un porl ! France adorée ! Douce contrée 1 Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...enfin le matelot crie : Terre! terre! là-bas, voyez 1 Abl tous mes maux sont oublias. Salut à ma patrie I (fer.) Oui , voilà les rives de France ; Oui... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1836 - 724 pages
...I Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sarréa où je reviens mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre! terre! là-bas, voyeil Alil tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie I (ttr.) Oui , voilà les rives de France... | |
 | Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 pages
...trouver un port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...rives de France ; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur ! France adorée ! Douce contrée... | |
 | Charles Picot - 1845 - 260 pages
...trouver un port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...rives de France ; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur ! France adorée ! Douce contrée... | |
 | Pierre-Jean de Béranger - 1845 - 452 pages
...trouver un port ! France adorée! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie ! (ler.) Oui, voilà les rives de France : Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1847 - 574 pages
...à trouver un port! France adorée! Douce contrée! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...Ah! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie! (ter.) Oui, voilà les rives de France; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon... | |
 | Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 406 pages
...trouver un port ! France adorée ! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...rives de France ; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur ! • France adorée ! Douce contrée... | |
 | George Gerard (professor of French.) - 1848 - 408 pages
...Qu'il est lent à trouver un port! France adorée ! .Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...là-bas, voyez ! Ah ! tous mes maux sont oubliés. Salut ù ma patrie ! ! Oui, voilà les rives de France ; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs... | |
 | Louis Reybaud - 1852 - 824 pages
...impressions; chaque couplet élevait d'un degré l'échelle de l'épanouissement. J'arrivai ainsi au dernier; Oui, voilà les rives de France, Oui, voilà le port vaste et sûr... « L'illusion était complète ; on eût cru que le jeune homme allait débarquer; sa famille s'élançait... | |
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