 | Écrivains français - 1848 - 364 pages
...veulent dire qu'il a été marchand. Cov. Lui, marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOUR. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là que mon père était... | |
 | Molière - 1851 - 690 pages
...médisance, il ne l'a jamais ctr Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort ofiicieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait cboisir de tous les côtés, les faisait apporter cbez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent.... | |
 | Molière - 1667 - 816 pages
...qu'il a été marchand. COVIELLE. — Lui, marchand? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...lui , et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOURDAIN. — Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon... | |
 | Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1852 - 764 pages
...gentilhomme. " Lui, marchand ? C'est pure médisance : il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il disait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux;...étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, ¡es faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent" There are several amusing... | |
 | Molière - 1853 - 724 pages
...dire qu'il a été marchand. COVIELLE. Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais éte. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant...connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir rie tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M.... | |
 | Molière - 1854 - 756 pages
...dire qu'il a été marchand. COVIELLE. Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. ENE PREMIERE. ARNOLPHE. Il m'est, lorsque j'y pense,...entier à ses yeux ; II eût fait éclater l'ennu M. JOUBDAIN. Je suis ravi de vous connaître , afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
 | Académie des sciences morales et politiques (France) - 1854 - 492 pages
...marchand , » Covielle répondait: « Lui , marchand? c'est pure médisance; il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait , c'est qu'il était fort obligeant...lui , et en donnait à ses amis pour de l'argent. » Le raisonnement de Pothier ressemble fort à celui de Molière ; malgré le naïf détour qui ,... | |
 | 1854 - 928 pages
...répondait : « Lui, marchand? c'est pure médisance ; il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il taisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. » Le raisonnement de Pothier ressemble fort à celui de Molière, malgré le naïf détour qui, pour... | |
 | Charles Jean Delille - 1855 - 612 pages
...veulent dire qu?il a été marchand. Cov. Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. Jourd. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
 | Molière - 1856 - 746 pages
...dire qu'il a ¿té marchand. COVIKLLE. Lui, marchand ? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. M. JOURDAIN. Je suis ravi de vous connaître, alin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
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Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés , les faisait apporter... 
