 La culture des terres est presque abandonnée ; les villes et la campagne se dépeuplent ; tous les métiers languissent , et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti. Par. conséquent vous avez détruit la moitié des forces réelles...  Correspondance de Feńelon: archeveq̂ue de Cambrai - Page 338de François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1827 - 11 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | A. Camille Savy - 1867 - 300 pages
...défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provisions » On ne vit que par miracle ; l'Etat est une vieille machine délabrée, qui va encore... | |
 | Félix Cadet - 1869 - 302 pages
...dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers; tout commerce est anéanti... La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. » Quel langage il tient encore en 1710 : « Les intendants font, malgré eux, presque autant de ravages... | |
 | Félix Cadet - 1870 - 476 pages
...dépeuplent. Tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti... la France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. » Michel le Vasser, un pamphlétaire violent, ne tient pas un langage plus énergique que l'illustre... | |
 | Eugène Bonnemère - 1874 - 532 pages
...et ne nourrissent plus les ouvriers... Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provisions. Les émotions populaires, qui étaient inconnues depuis longtemps, deviennent fréquentes...... | |
 | Eugène Geruzez - 1877 - 522 pages
...défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière...plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. » Et plus loin : « Les émotions populaires, qui étaient inconnues depuis si longtemps, deviennent... | |
 | Eugène Geruzez - 1878 - 1064 pages
...au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et la nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. » Et plus loin : « Les émotions populaires, qui étaient inconnues depuis si longtemps, deviennent... | |
 | Société des sciences et arts de Vitry-le-François - 1878 - 1074 pages
...dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers ; tout commerce est anéanti. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. » La gloire militaire et littéraire du siècle de Louis XIV ne doit pas faire oublier celte misère... | |
 | Amédée Villard - 1879 - 666 pages
...ne nourrissent plus les ouvriers... Au lieu de » tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire » l'aumône et le nourrir. La France entière...n'est plus » qu'un grand hôpital désolé et sans provisions. Lesémo» tions populaires, qui étaient inconnues, deviennent fré» quentes... Vous êtes... | |
 | Orentin Douen - 1879 - 492 pages
...soutient la comparaison avec la fameuse lettre anonyme de 1693, dans laquelle Fénelon dit au roi : « La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision ; le peuple qui vous a tant aimé commence à perdre l'amitié, la confiance et même le respect. Les... | |
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