 Chose admirable! je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées : tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge : je ne me croyais pas...  ...Lettres persanes - Page 44de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1914 - 312 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez 'ii. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge...me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville, où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan,... | |
 | Écrivains français - 1859 - 360 pages
...portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs...me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville, où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan,... | |
 | William Ireland Knapp - 1863 - 500 pages
...portraits partout ; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs...me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan,... | |
 | French examination papers - 1863 - 282 pages
...portraits partout; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir, pas assez vu. Tant d'honneurs...me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan,... | |
 | Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...tant on craignait du ne m'avoir pas assez vu. 2. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge3; je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare...bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé queje dusse troubler le repos d'une grande ville ou (571.) je n'étais point connu. Cela me fit résoudre... | |
 | 1864 - 516 pages
...portraits partout; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tanl on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs...un homme si curieux et si rare ; et, quoique j'aie très-bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande... | |
 | Ludwig Herrig - 1864 - 720 pages
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 | Edward A. Oppen - 1864 - 368 pages
...portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent par d'être à charge: je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare ; et quoique j'aie très-bonne... | |
 | Edward A. Oppen - 1864 - 344 pages
...portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent par d'être à charge : je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare ; et quoique j'aie très-bonne... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 500 pages
...partout ; je me voyois multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignoit de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à charge : je ne me croyoïs pas un homme si curieux et si rare; et, quoique j'aie très-bonne opinion de moi, je ne me... | |
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