 | Bernardin de Saint-Pierre - 1873 - 181 pages
...avec ses petits a un corsage moins beau et une dûmarche moins légère. Quoique je te perde de vue a travers le.s arbres, je n'ai pas besoin de te voir...te retrouver; quelque chose de toi que je ne puis te dire reste pour moi dans l'air ou tn passes, sur l'herbe ou tu t'assieds. Lorsque jet approche,... | |
 | Friedrich Melchior baron von Grimm - 1881
...vers ses pe« lits a un corsage moins beau et une démarche moins légère. « Quoique je te perde de vue à travers les arbres, je n'ai pas « besoin...l'air où tu passes, sur « l'herbe où tu t'assieds. Lorsque je t'approche, tu ravis tous « mes sens. L'azur du ciel est moins beau que le bleu de tes... | |
 | Ludovic Halévy - 1883 - 319 pages
...de ce vallon, tu me parais, au milieu de nos vergers, comme un bouton de rose. Quoique je te perde de vue à travers les arbres, je n'ai pas besoin de...l'air où tu passes, sur l'herbe où tu t'assieds. Lorsque je t'approche, tu ravis mes sens. Si je te touche seulement du bout du doigt, tout mon corps... | |
 | Bernardin de Saint-Pierre - 1886
...démarche moins légère. Quoique je te perde » de vue à travers les arbres, je n'ai pas be» soin de te voir pour te retrouver ; quelque » chose de...l'air où tu passes, sur l'herbe où » tu t'assieds. Lorsque je t'approche, tu ravis » tous mes sens. L'azur du ciel est moins » beau que le bleu de tes... | |
 | 1889
...adresser, quand il la revoyait, cette admirable phrase de la déclaration de Paul à Virginie : « Quelque chose de toi, que je ne puis dire, reste pour...l'air où tu passes, sur l'herbe où tu t'assieds. » Ce ne fut pas trop de toute l'ardeur laborieuse qu'il lui fallut déployer en vue d'achever honorablement... | |
 | Jean-Marie Guyau - 1903 - 387 pages
...Musset : « Lorsque je suis fatigué, ta vue me délasse... Quelque chose de toi que je ne puis te dire reste pour moi dans l'air où tu passes, sur l'herbe où tu t'assieds... Si je te touche seulement du bout du doigt, tout mon corps frémit de plaisir... Dis-moi par quel charme... | |
 | 1853
...fond de ce vallon, tu me parais au milieu de nos vergers comme un bouton de rosé. Quoique je te perde de vue à travers les arbres, je n'ai pas besoin de...l'air où tu passes, sur l'herbe où tu t'assieds » Quoique la pudeur ne fût pas le caractère distinctif de Beaumarchais, il ne laissait pas d'avoir... | |
| |