| F T - 1848 - 410 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 646 pages
...jour bleuâtre el veloulé de la lune des« ccndait dans les intervalles des arbres, et pous« sait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur « des plus profondes ténèbres. La rivière qui cou« lait à mes pieds, tour à tour se perdait dans le « bois, tour à tour reparaissait brillante... | |
| Norman Pinney - 1850 - 293 pages
...élasticité. La scène sur la terre n' était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté3 de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes4 de lumière jusque dans l' épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
| Norman Pinney - 1853 - 288 pages
...élasticité. La scène sur la terre n' était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté3 de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes4 de lumière jusque dans l' épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
| Antonin Roche - 1854 - 704 pages
...ouate éblouissante , si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre , n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
| Charles Jean Delille - 1855 - 612 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité". La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante; le jour bleuâtre et velouté2 de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumière... | |
| Norman Pinney - 1857 - 352 pages
...élasticité. La scène sur la terre n' était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté 3 de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes 4 de lumière jusque 'dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes... | |
| C Lombard de Luc - 1858 - 152 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds tour-à-tour se perdait dans les bois, tour-à-tour reparaissait toute brillante des constellations... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1858 - 760 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour rcparoissoit brillante des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 774 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois, tour à tour reparoissoit brillante des... | |
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