| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1843 - 684 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres , et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois, tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| Alexandre Dumas - 1861 - 640 pages
...flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, pénétrant dans les intervalles des arbres, poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. L'étroit ruisseau qui coulait à mes pieds, s'enfonçant tour à tour sous des fourrés de chênes,... | |
| Léon Contanseau - 1862 - 572 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savanne, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1862 - 676 pages
...éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait... | |
| Charles Louandre - 1863 - 294 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumièra jusque dans l'épaisseur des plus profondes térôbres. La rivière qui coulait à mes pieds,... | |
| French literature - 1864 - 446 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur... | |
| Anselme Ouradou - 1864 - 448 pages
...ouate éblouissante , si doux à l'œil, qu'on croj ait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante;...coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit , qu'elle répétait... | |
| A P Le Page - 1864 - 500 pages
...leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante ; le jo01 bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes des lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes... | |
| Léon Contanseau - 1865 - 592 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savanne, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur... | |
| Alfred Charles Clapin - 1866 - 198 pages
...reposait sur des groupes de nues,6 qui ressemblaient à la cime? de hautes montagnes couronnées de neige. La scène sur la terre, n'était pas moins ravissante...descendait dans les intervalles des arbres, et poussait 3 des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
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