J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé , et... Œuvres complètes de Montesquieu: Lettres persanes - Page 129de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1846 - 602 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Ed Mennechet - 1846 - 488 pages
...l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on...occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...j'entrais tout- à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1851 - 580 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche ; mais , si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Antonin Roche - 1854 - 704 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1854 - 804 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout h coup dans un néant affreux. Je demeurais apprenait a la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 488 pages
...Voyez la notice sur Montesquieu, p. 32. car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une co.mpagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement:... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...j'entrais tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| William Ireland Knapp - 1863 - 500 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
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