| Eugène Nicolas Géruzez - 1861 - 528 pages
...ravit, et ravit les plus forts esprits. Quand je veois ces braves formes de s'expliquer si vifves, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je...penser. C'est la gaillardise de l'imagination qui eslève et enfle les paroles ' . » II comprend mieux que personne et il fait comprendre par son exemple... | |
| Eugène Geruzez - 1861 - 510 pages
...ravit, et ravit les plus forts esprits. Quand je veois ces braves formes de s'expliquer si vifves, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je...penser. C'est la gaillardise de l'imagination qui esleve et enfle les paroles 1. » Il comprend mieux que personne et il fait comprendre par son exemple... | |
| 1870 - 648 pages
...plein et gros d'une vigueur naturelle et constante. Quand je vois ces braves formes de s'expliquer si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser ». Ces paroles de Montaigne ne s'appliquent-elles pas merveilleusement à ces grands prosateursdu... | |
| Emile-Jacques Pérès - 1865 - 644 pages
...philosophe quand il a dit de lui-même : « Quand je vois ces braves formes de s'expliquer si vives et si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire ; je dis que c'est bien penser. » II connaissait donc bien la nature de l'esprit et le mécanisme de ses opérations. Sans doute Montaigne... | |
| Jacques Demogeot - 1869 - 710 pages
...chez personne, le style c'est l'homme. « Quand je vois ces braves formes de s'exprimer si vives et si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser. » II maîtrise, il assouplit l'idiome rebelle encore qui lui est donné, et, comme un habile versificateur,... | |
| Villemain (M., Abel-François) - 1873 - 426 pages
...exprimer tous les mouvements de son esprit. Quand je vois ces braves formes de s'expliquer si visves et si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire : je dis que c'est bien penser1. Il est vrai que, lorsqu'il s'agit simplement de décrire et de montrer les objets, l'imagination... | |
| Jacques Demogeot - 1876 - 728 pages
...chez personne, le style c'est l'homme. • Quand je vois ces braves formes de s'exprimer si vives et si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est sien penser. » II maîtrise, il assouplit l'idiome rebelle encore pi lui est donné, et, comme un... | |
| Eugène Geruzez - 1877 - 508 pages
...ravit, et ravit les plus forts esprits. Quand je veois ces braves formes de s'expliquer si vifves, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je...penser. C'est la gaillardise de l'imagination qui eslève et enfle les paroles 1. » Il comprend mieux que personne et il fait comprendre par son exemple... | |
| Léon Jacques Feugère - 1877 - 516 pages
...poit., 309.) El Montaigne, d'accord avec Horace : « Quand je vois ces braves formes de s'expliquer si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser. • Essais, Il1, 5. ganes; il suffit d'avoir un peu d'oreille pour éviter les dissonances, et de l'avoir... | |
| Jacques Demogeot - 1880 - 738 pages
...chez personne, le style c'est l'homme. • Quand je vois ces braves formes de s'exprimer si vives et si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser. » II maîtrise, il assouplit l'idiome rebelle encore qui lui est donné, et, comme un habile versificateur,... | |
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