Madame, faites-moi la grâce de me dire si c'est pour rire que vous appelez cette demoiselle, qui est à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle ; elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas... ...Lettres persanes - Page 81de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1914 - 312 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1838 - 826 pages
...à l'autre table, votre nièce. Vous êtes aussi jeune qu'elle : elle a même quelque chose dans le survotre teint.... Attendez, me dit-elle : je suis sa tante , mais sa mère avait pour le moins vingt-cinq... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1841 - 892 pages
...viens de mettre en vers dans le moment feu M. le duc d'Orléans et son système avec Law. (VOLTAIRE.) J'ai ouï dire à feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes la même année. (MONTESQUIEU.) Un serviré solennel pour les feus rois Louis XVI et Louis XVII eut lieu ù Notre-Dame... | |
| Prosper Poitevin - 1843 - 532 pages
...bienveillance dont l'honorait la FEUE REINE, les bonnes grâces de l'empereur. (Salvandy.) J'ai oui dire à FEU ma SŒUR que sa fille et moi naquîmes la même année. (Montesquieu.) § 89. Tout adjectif, employé accidentellement pour modifier un verbe , est adverbe... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1845 - 396 pages
...à l'autre table , votre nièce. Vous êtes aussi jeune qu'elle : elle a mêmequelque chose dans le visage de passé que vous n'avez certainement pas...ces couleurs vives qui paraissent sur votre teint... Attende/,, me dit-elle : je suis sa tante, mais sa mère avait pour le moins vingt-cinq ans plus que... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1851 - 580 pages
...à l'autre table , votre nièce. Vous êtes aussi jeune qu'elle : elle a même quelque chose dans le visage de passé que vous n'avez certainement pas...même lit : j'ai ouï dire à feu ma sœur que sa lille et moi naquîmes la même année. Je le disais bien, madame, et je n'avais pas tort d'être étonné.... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1851 - 1412 pages
...Obserr.; son Met. aui mots demi, nu et feu ; et le plut grand nombre des Grammairiens modernes ) 1 J'ai ouï dire à, feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes la môme « VOKt. i (Montesquieu, si« lettre purs.) «Vous étiez, madame, aussi bien que feu madame... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1854 - 804 pages
...à l'autre table , votre nièce. Vous êtes aussi jeune qu'elle : elle a même quelque chose dans le ndignes c (q nie dit-elle : je suis sa tante, mais sa mère avait pour le moins vingt-cinq ans plus que moi ; nous... | |
| Prosper Poitevin - 1856 - 570 pages
...séparé par l'article ou par un adjectif déterminatif : La bienveillance dont l'henorait la FEUE REINE. J'ai ouï dire à FEU ma SŒUR que sa fille et moi naquîmes la même année. (Montesquieu.) Vous étiez, Madame, aussi bien que FEU madame la princesse de Conti, à la tête, de... | |
| Émile Deschanel - 1858 - 240 pages
...à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle; elle a même quelque chose, dans le visage, de passé, que vous n'avez certainement pas;...mais sa mère avait, pour le moins, vingtcinq ans de plus que moi : nous n'étions pas du même lit; j'ai ouï dire à feu ma sœur que sa fille et moi... | |
| L. Direy - 1858 - 268 pages
...pas de pluriel. Il ne prend le genre du nom, que s'il le précède immédiatement : la FEUE reine ; J'ai ouï dire à feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes la même année. Montesquieu. Les adjectifs s'emploient quelquefois adverbialement : Vous m'avez vendu cher vos secours... | |
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