 Madame, faites-moi la grâce de me dire si c'est pour rire que vous appelez cette demoiselle, qui est à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle ; elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas...  ...Lettres persanes - Page 81de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1914 - 312 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Bescherelle (M., Louis-Nicolas), H. Bescherelle, Litais de Gaux - 1860 - 926 pages
...revoir. (Id.) SANS nou». Ni vo» nymphet ni moi n'avons jun1 par les ondes du Styi. (FÉHKtoHO J'ai oui dire à feu ma sœur, que sa fille et moi naquîmes la même année. EXERCICE PBRÀSÉOLOGIQVE. Toi et moi nous sommes d'accord. Toi et moi nous somme» «mis. Lui PI DOUI... | |
 | A P Le Page - 1864 - 500 pages
...à l'autre table, votre nièce ? Vous êtes aussi jeune qu'elle : elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas,...mais sa mère avait, pour le moins, vingt-cinq ans de plus que moi ; nous n'étions pas de même lit ; j'ai ouï dire à feue ma sœur que sa fille et... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 500 pages
...à l'autre table , votre nièce. Vous êtes aussi jeune qu'elle ; elle a même quelque chose dans le visage de passé que vous n'avez certainement pas ; et ces couleurs vives qui paroissent sur votre teint.... — Attendez, me dit-elle : je suis sa tante ; mais sa mère avoit pour... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1866 - 444 pages
...à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle ; elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas ; et ces couleurs vives qui paroissent sur votre teint... Attendez, me dit-elle : je suis sa tante ; mais sa mère avoit pour le... | |
 | Eugène Borel - 1868 - 478 pages
...l'article ou un déterminatif quelconque, reste invariable ; quand il le suit, il prend l'accord. J'ai oui dire à feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes la même année. (Montesquieu.) — La, feue reine était une princesse de Russie. Le pluriel de cet adjectif n'étant... | |
 | G. Roublot - 1869 - 374 pages
...l'étendard de la sainte croix. 34. Il marchait ««-pieds et s'appuyait sur un bâton d'ébène. 35. J'ai ouï dire à feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes la même année. 36. Le duc doit à la bienveillance dont l'honorait la feue reine les bonnes grâces de l'empereur.... | |
 | Carl Ploetz - 1871 - 486 pages
...prise! (J.-J. Rousseau.) Saint Louis suivait pieds nus l'étendard de la sainte croix. (Pléchier.) J'ai ouï dire à feu ma sœur que sa fille et moi naquîmes h même année. (Montesquieu.) 6. L'adjectif placé après l'expression avoir l'air (bie SJJlten. ïjoben,... | |
 | 1873 - 244 pages
...chose dans le visage Je passé, que vous n'avez certainement pas ; et ces couleurs vives qui paroissent sur votre teint... Attendez, me dit-elle : je suis sa tante, mais sa mère avoit pour le moins vingt-cinq ans plus que moi : nous n'étions pas de même lit ; j'ai ouï dire... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875 - 546 pages
...à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle; elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas : et ces couleurs vives qui paroissent sur votre teint... Attendez, me dit-elle : je suis sa tante; mais sa mère avoit, pour le... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875 - 534 pages
...à l'autre table, votre nièce? Vous êtes aussi jeune qu'elle; elle a même quelque chose dans le visage de passé, que vous n'avez certainement pas : et ces couleurs vives qui paroissent sur votre teint... Attendez, me dit-elle : je suis sa tante; mais sa mère avoit, pour le... | |
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