| Walter Leatherbee Leighton - 1908 - 124 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des... | |
| Félicité Robert de Lamennais, François Duine - 1912 - 384 pages
...d'éviter soigneu-. sement la Précipitationet la Prévention, et de ne comprendre rien deplus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » Or, cette règle rejette deux... | |
| Louis Levesque - 1913 - 726 pages
...c'est-à-dire éviter soigneusement la précipitation et la prévention -et ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement; et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » 2° « Diviser chacune des difficultés... | |
| André Schimberg - 1913 - 654 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention et de ne comprendre rion de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute l ». Les commentaires dont le philosophe... | |
| Joseph Vernay - 1914 - 130 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.» Cependant LEIBNIZ est plus précis... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - 1984 - 148 pages
...être telle; c'est-à-dire éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et n'accepter rien de plus en ses jugements que ce qui se présenterait...qu'il n'eût aucune occasion de le mettre en doute. 2) Diviser chacun des problèmes qu'il examinerait en autant de parties qu'il serait nécessaire pour... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...pour mot, celui de la première règle du Discours de la Méthode ; « ne comprendre rien plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute » (4). La conclusion est la décision... | |
| Marc Lits - 1999 - 212 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n 'eusse aucune occasion de le mettre en doute14. Le rapport est si net qu'on pourrait... | |
| André Robinet - 1999 - 454 pages
...suivant la règle que j'ai tantôt dite » (VI, 36. 13). Cette règle consiste à « ne recevoir en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit » (VI, 1 8.20). On se trouve dialectiquement du côté du jugement, et non plus de l 'intuition,... | |
| Lucien Morin, Louis Brunet - 2000 - 652 pages
...pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle [...] et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute"3. Si on pousse un peu cette façon... | |
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