| Auguste Théodore Hilaire baron Barchou de Penhoen - 1836 - 428 pages
...que je penserai être quelque chose. Après y avoir bien pensé, après avoir convenablement examiné toute chose, il faut donc enfin conclure par tenir...concevoir de hautes espérances, si je suis assez heureux pour trouver seulement une chose qui soit certaine et indubitable. » Or, cette chose, nous... | |
| Auguste Théodore Hilaire Barchou de Penhoën - 1836 - 560 pages
...y avoir bien pensé , après avoir convenablement examiné toute chose , il faut donc enfin condure par tenir cette proposition comme constante : Je pense...effet, de concevoir de hautes espérances, si je suis assei heureux pour trouver seulement une chose qui soit certaine et indubitable. » Or, cette chose,... | |
| Victor Cousin - 1840 - 406 pages
...choses , enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition : Je suis , j'existe , est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. » C'est donc par un raisonnement que Descartes établit l'existence de l'être pensant... | |
| Amand Saintes - 1842 - 432 pages
...s'écrie-t-il, il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit (a). » Or, à ces principes fondamentaux de la méthode de Descartes se rattachent évidemment... | |
| René Descartes - 1842 - 626 pages
...philosopher de la sorte : Je suis, je pense ; je suis pendant que je pense. Cette proposition , J'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. — Vous dites merveilles. Vous avez trouvé ce point fixe d'Archimède. Sans doute... | |
| Pasquale Galluppi - 1844 - 488 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition je suis, j 'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. » Arrêtons-nous ici un moment. Quand Descartes dit : Je suis, ou bien , je pen se... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition : Je suis , j'existe , est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Mais je ne connais pas encore assez clairement quel je suis, moi qui suis certain que... | |
| Pasquale Galluppi - 1844 - 394 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition ye suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la concois en mon esprit. » Arrêtons-nous ici un moment. Quand Descartes dit : Je suis, ou bien, je... | |
| 1845 - 972 pages
...chose. Enfin il faut conclure et tenir pour certain que « cette proposition, je suis, f existe, est nécessairement vraie toutes les fois que « je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. » II développe les raisons qui confirment cette première conclusion, et il y revient... | |
| Emile Saisset - 1859 - 536 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit ' . » Voilà Descartes sorti du doute universel. Il est en possession d'une première... | |
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