| 1889 - 616 pages
...être ; « il faut donc conclure que cette proposition : Je suis, j'existe ; cogito, ergo sum, est vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. » C'est en s'appuyant sur cette affirmation, qu'il juge certaine, que Descartes espère... | |
| Henri Berr - 1899 - 544 pages
...vraiment l'esprit plonge au plus profond de soi-même : « Cette proposition : je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit* »; ailleurs encore : on voit qu'on existe, déclarait-il, « par une simple inspection... | |
| René Descartes - 1901 - 262 pages
...choses: Enfin il faut conclure, et tenir pour constant, que cette proposition, Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon Esprit. „Patet quod intellectus noster pro statu isto non tantum cognoscit sensibilia, sed... | |
| René Descartes - 1908 - 228 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit, (1, 248) b Mais qu'est-ce qu'un homme ? Dirai -je que c'est un animal raisonnable ?... | |
| Jules Carret - 1912 - 566 pages
...Enfin il faut conclure, et tenir pour « constant, que cette proposition, je suis, j'existe, est « nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, « ou que je la conçois dans mon esprit. » Tel est le point de départ; telle est l'unique base certaine sur laquelle il veut élever son argumentation.... | |
| Louis Dimier - 1917 - 334 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. » Tel est le point auquel le plus obstiné sceptique est obligé de s'arrêter. Descartes... | |
| Juan David García Bacca - 1990 - 568 pages
...chases, enfin ti faut conclure et tenir pour constant que cette proposition: Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la confois en mon esprit. Mais je ne connais pas encore assez clairement quel je suis, moi qui suis certain... | |
| André Stanguennec - 1992 - 134 pages
...d'abord qu'une vérité intérieure et singulière pour le sujet qui se réfléchit ainsi lui-même : «toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit»8, écrivait le philosophe français . C'est bien pourquoi, selon Descartes, l'ego ne... | |
| André Robinet - 1994 - 346 pages
...proposition de la seconde Méditation de Descartes : « Cette proposition : je suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit », on doit constater que Descartes n'a pas précisé en quoi consistait cette t prononciation... | |
| Emilio Brito - 1999 - 834 pages
...reçoit pour le principe de la philosophie qu'il cherchait17. La proposition: Je suis, j'existe, est «nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit»18. Puisque du côté des objets rien n'est indubitable, le sujet qui doute est nécessairement... | |
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