 | Voltaire - 1820 - 650 pages
...l'historien , vous aurez dû apprendre dès <> mercredi au soir la nouvelle dont vous nous félicitez « tant. Un page partit du champ de bataille le mardi à « deux heures et demie pour porter les lettres; j'ap• prends qu'il arriva le mercredi à cinq heures du soir «... | |
 | 1825 - 508 pages
...l'historien, vous avez dû apprendre, « dès mercredi au soir, la nouvelle dont vous me » félicitez tant. Un page partit du champ de « bataille , le mardi à deux heures et demie du >> matin , pour porter les lettres. J'apprends qu'il » arriva le mercredi à cinq heures... | |
 | Saint-Albin Berville, François Barrière - 1825 - 502 pages
...l'historien, vous avez dû apprendre , » dès mercredi au soir, la nouvelle dont vous me » félicitez tant. Un page partit du champ de » bataille , le mardi à deux heures et demie du » matin, pour porter les lettres. J'apprends qu'il » arriva le mercredi à cinq heures... | |
 | René-Louis de Voyer Argenson (marquis d') - 1825 - 500 pages
...l'historien, vous avez dû apprendre , » dès mercredi au soir, la nouvelle dont vous me » félicitez tant. Un page partit du champ de » bataille, le mardi à deux heures -et demie du » matin, pour porter les lettres. J'apprends qu'il » arriva le mercredi à cinq heures... | |
 | Adrien Alexandre Marie Hoverlant de Beauwelaere - 1828 - 854 pages
...l'historien, vous auriez dû apprendre dès mercredi au soir la nouvelle dont Vous nous félicitez tant. Un page partit du champ de bataille le mardi à deux heures et demie pour porter les lettres. J'apprends qu'il arriva le mercredi à Cinq heures du soir à Vërsaille.... | |
 | Théodose Burette - 1842 - 546 pages
...nouvelle dont vous nous félicitez tant: un page partit du champ de baiaille, le mardi , à deux heures et demie, pour porter les lettres. J'apprends qu'il arriva le mercredi à cinq heures du soir à Versailles. Ce fut un beau spectacle que de voir le roi et le dauphin écrire sur une caisse,... | |
 | Théodose Burette - 1842 - 752 pages
...l'historien, vous auriez dû apprendre dès mercredi au soir la nouvelle dont vous nous félicitez tant : un page partit du champ de bataille, le mardi , à deux heures et demie, pour porter les lettres. J'apprends qu'il arriva le mercredi, à cinq heures du soir, à... | |
 | René-Louis de Voyer Argenson (marquis d') - 1857 - 416 pages
...l'historien , vous avez dû appren» dre dès mercredi au soir la nouvelle dont vous » me félicitez tant. Un page partit du champ de » bataille le mardi à deux heures et demie , »pour porter les lettres; j'apprends qu'il arriva » le mercredi à cinq heures du soir... | |
 | René-Louis de Voyer Argenson (marquis d') - 1862 - 504 pages
...Monsieur l'historien, vous avez dû apprendre dès mercredi au soir la nouvelle dont vous me félicitez tant*. Un page partit du champ de bataille le mardi à deux heures et demie, pour porter les lettres ; j'apprends qu'il arriva le mercredi, à cinq heures du soir, à... | |
 | Voltaire - 1861 - 544 pages
...nouvelle dont vous nous félicitez tant. Un page partit du champ de bataille, le mardi à deux heures et demie, pour porter les lettres. J'apprends qu'il arriva, le mercredi à cinq heures du soir, à Versailles. Ce fut un beau spectacle que de voir le roi et le dauphin écrire sur un tambour,... | |
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Monsieur l'historien, vous aurez dû apprendre dès mercredi au soir la nouvelle dont vous nous félicitez tant. Un page partit du champ de bataille, le mardi à deux heures et demie, pour porter les lettres. J'apprends qu'il arriva, le mercredi à cinq... 
