| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...descendait dans les intervalles des arbres et poussait 2 des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
| 1927 - 588 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'il croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité... le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait...des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des ténèbres... la clarté de la lune dormait sans mouvements sur les gazons... formaient des îles d'ombres... | |
| Michèle R. Morris - 1988 - 336 pages
...d'une ouate éblouissante, si doux à l'oeil, qu'on croyait sentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans... | |
| Gärard Genette - 1997 - 512 pages
...doû>-à4]peil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur elasticité. La scène sur la terre n'étïivpas moins ravissante: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervaHes^des arbres, et poussait des gerbes de lumiere jusque dans l'épaisseur des plus profondSs-tçnèbres.... | |
| Hugh Fraser Stewart - 1926 - 264 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. 20 La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans... | |
| Claude-Gilbert Dubois - 1985 - 242 pages
...la rendait toute étincelante de lumière". (Paul et Virginie, p. 129) \octurne de Chateaubriand : "Le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait...l'épaisseur des plus profondes ténèbres /.../. La clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons : des bouleaux agités par les brises et dispersés... | |
| 1910 - 588 pages
...dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante : Voilà de quoi satisfaire les amateure de blanc. Le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait...lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbre». La rivière tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante... | |
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