| Albert Dauzat - 1914 - 300 pages
...à gauche; on examine tout ce qui nous flatte, on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie; un bois touffu, je vais...je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux ni du 1. A. Dauzat, Pour qu'on voyage, pp. 117-123. postillon. Je n'ai pas besoin de choisir des chemins... | |
| Henri Adolphe Pauthier - 1919 - 472 pages
...à gauche ; on examine tout ce qui nous flatte; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie : un bois touffu, je vais sous son ornbre : une grotte, je la visite : une carrière, j'examine les minéraux. Partout où je me plais,... | |
| Michael S. Pargment - 1920 - 272 pages
...à gauche, on examine tout ce qui nous flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois touffu, je vais...minéraux. Partout où je me plais, j'y reste. A l'instant où je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux, ni du postillon. Je n'ai pas besoin de... | |
| Michael S. Pargment - 1920 - 280 pages
...à gauche, on examine tout ce qui nous flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois touffu, je vais...minéraux. Partout où je me plais, j'y reste. A l'instant où je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux, ni du postillon. Je n'ai pas besoin de... | |
| Michael S. Pargment - 1920 - 280 pages
...à gauche, on examine tout ce qui nous flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois touffu, je vais...minéraux. Partout où je me plais, j'y reste. A l'instant où je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux, ni du postillon. Je n'ai pas besoin de... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 pages
...gauche ; on examine tout ce qui nous flatte ; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois touffu, je vais...les minéraux. Partout où je me plais, j'y reste ; à l'instant que je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends n1 des chevaux ni du postillon 1. Je n'ai... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 pages
...grotte, je la visite ; une carrière, j'examine les minéraux. Partout où je me plais, j'y reste ; à l'instant que je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux ni du postillon 1. Je n'ai pas besoin de choisir des chemins tout faits, des routes commodes ; je passe partout où... | |
| Hélène Cattanès - 1925 - 294 pages
...à gauche; on examine tout ce qui vous flatte; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie; un bois touffu, je vais...j'examine les minéraux. Partout où je me plais, je reste. A l'instant que je m'ennuie, je m'en vais. Je ne dépends ni des chevaux, ni du postillon.... | |
| Université de Strasbourg. Faculté des lettres - 1928 - 330 pages
...à gauche ; on examine tout ce qui nous flatte, on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois touffu, je vais...reste. A l'instant que je m'ennuie, je m'en vais... Voyager à pied, c'est voyager comme Thaïes, Platon et Pythagore. J'ai peine à comprendre comment... | |
| Michael Shortland, Richard R. Yeo - 1996 - 318 pages
...à gauche; on examine tout ce qui nous flatte; on s'arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie; un bois touffu, je vais...la visite: une carrière, j'examine les minéraux . . . While this passage makes very clear the eighteenth-century links between straying from a set... | |
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