Un homme n'est pas pauvre parce qu'il n'a rien, mais parce qu'il ne travaille pas. Celui qui n'a aucun bien et qui travaille, est aussi à son aise que celui qui a cent écus de revenu sans travailler. Œuvres complètes de Montesquieu: De l'esprit des lois, livres XXII-XXX - Page 112 de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1877 Affichage du livre entier -
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