| Gaston Capon, Robert Yve-Plessis - 1905 - 328 pages
...dit- il, que la présence d'une divinité eût pu m'inspirer plus de respect et plus d'admiration. Il eut la bonté de mettre fin à mon embarras en m'ouvrant ses deux bras paternels et en remerciant Dieu d'avoir créé un être qui l'avait ému et attendri. » La part faite... | |
| Jean Jacques Olivier - 1907 - 636 pages
...coupé de café. Dès qu'il aperçut son visiteur, il lui ouvrit paternellement les bras et remercia Dieu « d'avoir créé un être qui l'avait ému et attendri en proférant d'assez mauvais vers ». Cette exclamation, si exagérée qu'elle paraisse, ne manquait certes pas de sincérité. Ne l'oublions... | |
| 1921 - 1120 pages
...aperçut son visiteur, avec sa vivacité ordinaire, il lui ouvrit paternellement les bras et remercia , 1 0 #YZ » ( 1 ) Le jeune homme, interrogé sur ses projets, avoua qu'il n'avait qu'une ambition : entrer chez... | |
| Voltaire - 1768 - 584 pages
...d'enthoufiaime , d'admiration & de crainte ; j'éprouvais a la fois toutes ces fenfations , lorfijue M. de Voltaire eut la bonté de mettre fin à mon embarras , en m'ouvrant fes deux bras , & en remerciant DlEU d'avoir crié un tire qui l'avait ému & attendri en proférant... | |
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