| Michel Ulysse Maynard - 1850 - 526 pages
...légitimité ne lui doit 'être cependant constatée que par l'existence de Dieu ! Dieu, a dit Pascal, est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part. On a beau vouloir s'en éloigner pour errer dans le désert de sa pensée, on revient à lui forcément,... | |
| P. L. Lezaud - 1851 - 312 pages
...l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons que des atomes , au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée. Que l'homme , étant revenu à soi , considère ce qu'il est au prix de ce qui... | |
| François Noel - 1851 - 792 pages
...l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée. Mais , pour présenter à l'homme un autre prodige aussi étonnant, qu'il recherche... | |
| Pierre Léon Lezaud - 1851 - 330 pages
...nos conceptions , nous n'enfantons que des atomes , au prix de la réalité des choses. C'est «ne sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence...toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée. Que l'homme , étant revenu à soi , considère ce qu'il est au prix de ce qui... | |
| Blaise Pascal - 1852 - 680 pages
...l'amplitude, i fler nos conceptions au delà des espaces imaginables : nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...le centre est partout, la circonférence nulle part ' . giner. On peut concevoir d'une façon abstreite ce qu'on ne se figure pas d'une manière sensible.... | |
| Antoine Albalat - 1921 - 338 pages
...étonnante, dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin, c'est le plus grand des caractères sensibles de la toute-puissance de Dieu que notre imagination se perde dans cette pensée. COMMENTAIRE (II y avait dans ce texte encore bien des hésitations, des essais... | |
| Adolf Portmann, Rudolf Ritsema - 1977 - 496 pages
...athées.18 Toutefois, c'est certainement un cri du cœur que cette exclamation évoquant le monde comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part». Car dans l'édition critique de Tourneur (Paris, 1941) on voit que Pascal avait d'abord écrit : «... | |
| Jean-Louis Gardies - 1984 - 152 pages
...la limite. C'est, selon la formule célèbre sur laquelle il convient maintenant de revenir 44, « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part ». Mais le nouveau paradigme ainsi résumé est à sa manière signe cosmologique de l'existence de... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...puis barré (15). Pour se connaître, l'homme doit commencer par se situer dans un monde qui est « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part » (16) ; aussi ne disons pas seulement dans l'univers mais dans «une infinité d'univers» (17).... | |
| Georges Canguilhem - 1992 - 260 pages
...connaître le tout sans connaître particulièrement les parties. Et lorsqu'il définit l'univers comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part », Pascal tente paradoxalement, par l'emploi d'une image empruntée à la tradition théosophique,... | |
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