| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1873 - 502 pages
...amis, Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir...sûr : qui peut tout doit tout craindre. Rentre en toi-môme, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1873 - 1008 pages
...(Lisez le grand Corneille), il a le repentir. Écoutez-le plutôt ! lui-même il va se peindre : « Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Songe au fleuve de sang où ton bras s'est baigné... Remets dans ton esprit , après tant de carnages... | |
| Emil Pfundheller - 1875 - 382 pages
...amis, Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir...tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné! Songe au fleuve de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - 250 pages
...» a dit un moraliste, et Ovide l'explique en disant : Multa miser metuo, quia, fcci multa proterve. Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien e'pargné! (CORNEILLE.) -996Sur le fils d'une mère célèbre, le fils de Mme de Staël, par exemple,... | |
| Octave Feuillet - 1876 - 412 pages
...Je suis effaré,... je suis consterné,. ..je suis ridicule! Ah! ah! voyons... Rentre en toi-mCme, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Ah çà (n regarde à sa montre.), je vais attendre un quart d'heure, et puis je m'informerai...... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - 232 pages
...moraliste, et Ovide l'explique en disant : Multa miser metuo} quia feci multa proterve. Rentre en toi-mème} Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné! (CORNEILLE.) Sur le fils d'une mère célèbre, le fils de Mme de Staël, par exemple, ou de Mme de... | |
| Pierre Corneille - 1877 - 878 pages
...le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines , El si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que...tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1878 - 584 pages
...amis, Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir...Octave, et cesse de te plaindre. Quoi! tu veux qu'on ^épargne, et n'as rien épargnéI Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien... | |
| Victor de Laprade - 1879 - 390 pages
...convertir, (Lisez le grand Corneille) il a le repentir. Écoutez-le plutôt! lui-même il va se peindre: « Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Songe au fleuve de sang où ton bras s'est baigné... Remets dans ton esprit, après tant de carnages,... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1880 - 592 pages
...amis, Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir...Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoil tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné 1 Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est... | |
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