| Napoléon Maurice Bernardin - 1884 - 474 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Հովհաննէս Թ Հինդլեան - 1886 - 572 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques, car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| George Eugène Fasnacht - 1888 - 272 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, (2) RICA A USBECK. • Je me trouvais l'autre jour dans une compagnie... | |
| Edgar Zevort - 1888 - 244 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout àcoup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Marc Auguste Pictet, Charles Pictet de Rochemont, Frédéric Guillaume baron Maurice - 1890 - 790 pages
...Montesquieu avait déjà noté chez les Parisiens cette badauderie naïve, compliquée d'ignorance. « Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt... | |
| Ludwig Herrig - 1891 - 716 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrais tout à coup dans un néant affreux. Tant de gens demandent à Votre Majesté des avantages...pourquoi rougirais-je de lui demander l'amitié, la mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour... | |
| Louis Leger - 1896 - 404 pages
...Montesquieu avait déjà noté chez les Parisiens cette batlauderie naïve compliquée d'ignorance. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1896 - 390 pages
...l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une beure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la boucbe. Mais si quelqu'un, par basard, apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt... | |
| Eugène Aubert - 1897 - 314 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais, si quelqu'un par hasard apprenait que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un... | |
| Lucien Leclair, Clodomir Joseph Rouzé - 1900 - 388 pages
...je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécier au plus juste. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
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