| Henri Adolphe Pauthier - 1919 - 472 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1921 - 456 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on_m|eût miâ._en, ocçasipnjl'ouvrir la bouche '. Mais si quelqu'un pàTfiasard apprenait à la... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion (7J d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais persan,... | |
| Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - 1923 - 494 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on ao m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dans un néant affreux.' Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Albert Schinz - 1923 - 658 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique: car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie 'que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles Marc Des Granges, Charles Charrier - 1928 - 622 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...qu'on m'eût mis * en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi... | |
| Martin L. Davies - 1995 - 374 pages
...Caillois (Bibliothèque de la Pléiade, 2 vols.) (Paris, 1949), pp. 129-373, pp. 176-177: "Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un, par hasard, apprenoit à la compagnie que j'étois Persan, j'entendois aussitôt... | |
| Stephen Werner - 2002 - 158 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique: car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Marie-Aude de Langenhagen - 2006 - 322 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
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