 | Jacques Necker - 1821 - 500 pages
...l'imputation d'avoir voulu faire répan« dre le sang du peuple, et surtout que les mal« heurs du 1o août me soient attribués. « J'avoue que les preuves...conduit , me paroissoient « devoir prouver que je craiguois peu de m'ex« poser pour épargner son sang, et éloigner à « jamais de moi une pareille... | |
 | Isaac-Étienne Larue (chevalier de) - 1821 - 546 pages
...malheurs dn i0 août me soient attribués. J'avoue » que les gages multipliés que j'avois donnés dans tous » les temps de mon amour pour le peuple , et la ma» nïère dont je m'étois toujours conduit , me parois» soient devoir prouver que je craignois... | |
 | Adolphe Thiers - 1824 - 448 pages
...mal» heurs du i0 août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées que » j'avais données dans tous les temps de mon » amour pour le peuple, et la manière dont je » m'étais toujours conduit, me paraissaient de» voir prouver que je ne craignais pas de m'ex•»... | |
 | Charles Lacretelle, Jean Charles D. de Lacretelle - 1824 - 526 pages
...« malheurs du 10 août me soient attribués. « J'avoue que les preuves multipliées que « j'avais données dans tous les temps de mon « amour pour le peuple , et la manière dont H. 14 « je m'étais toujours conduit, me paraissaient « devoir prouver que je craignais peu de m'exii... | |
 | Charles Lacretelle - 1824 - 526 pages
...« malheurs du 10 août me soient attribués. « J'avoue que les preuves multipliées que « j'avais données dans tous les temps de mon « amour pour le peuple , et la manière dont X. 14 « je m'étais toujours conduit, me paraissaient « devoir prouver que je craignais peu de m'ex»... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 372 pages
...malheurs du io août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple , et la manière dont je m'étais toujours conduit, me » paraissaient devoir prouver que je craignais peu de » m'exposer pour... | |
 | Cléry (M.) - 1825 - 362 pages
...malheurs du 10 août » me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me » paraissaient devoir prouver que je craignais peu de » m'exposer pour... | |
 | 1825 - 358 pages
...malheurs du io août « me soient attribués. J'avoue que 'les gages multipliés que » j'avais donnés, dans tous les temps, de mon amour pour le » peuple , et la manière dont je m'étais toujours conduit, me » paraissaient devoir prouver que je craignais peu de » m'exposer pour... | |
 | Guillaume Honoré Rocques ¬de Montgaillard - 1827 - 476 pages
...les malheurs du 10 août me » soient attribués. J'avoue que les preuves multi» pliées que j'avais données dans tous les temps de » mon amour pour le peuple , et la manière dont je » m'étais toujours conduit , me paraissent devoir » prouver que je craignais peu de m'exposer pour... | |
 | abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - 1827 - 474 pages
...malheurs du 10 août me; » soient attribués. J'avoue que les, preuves multi» pliées que j'avais données dans tous les temps de •• mon amour pour le peuple , et la manière dont je » m'étais toujours conduit , me paraissent devoir » prouver que je craignais peu de m'exposer pour... | |
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J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang, et éloigner... 
