Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux , que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes et de rendre agréablement... Œuvres - Page 37de Molière - 1799Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Molière - 1882 - 400 pages
...pour la difficulté, vous mettriez un peu plus du costé de la comedie, peut-estre que vous ne vous abuseriez pas. Car, enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentimens, de braver 3n vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que d'entrer... | |
| Molière - 1882 - 680 pages
...vousmettriez un peu plus du côté dela comédie, peut-êtrequc' vous ne vous abuseriez pas. Car enfm, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de bravoreu vers la fortune , accuser les destins , et dire des. injures aux dieux, que d'entrer comme... | |
| Léon Dumoustier - 1883 - 394 pages
...pour la difficulté, vous mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car enfin, je trouve qu'il est bien...se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser le Destin, et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans... | |
| Louis Moland - 1887 - 588 pages
...difficulté, dit-il, vous mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car, enfin, je trouve qu'il est bien...se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans... | |
| Paul Morillot - 1888 - 452 pages
...années plus tard, par la bouche du chevalier Dorante, dans la Critique de l'école des femmes * : « Je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands « sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins, et « dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut... | |
| Louis Moland - 1892 - 446 pages
...difficulté, dit-il, vous mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car, enfin, je trouve qu'il est bien...se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans... | |
| Ferdinand Brunetière - 1892 - 390 pages
...de Rodogune et de Pompée, voire de Polyeucle et d' Horace, à qui Molière s'en prend ouvertement : Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser les Destins, et dire des injures aux Dieux que d'entrer comme il faut dans... | |
| Paul Albert - 1892 - 484 pages
...qu'il avait adoré. Voici ses adieux à la tragédie : (Critique de l'École des femmes, 1662.) Il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser le destin et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans le... | |
| Félix Hémon - 1893 - 634 pages
...pour la diffieulté, voua mettriez un peu plus du côté de la comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car enfin je trouve qu'il est bien...se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins, et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans... | |
| Ferdinand Brunetière - 1893 - 450 pages
...années, accomplissait dans le comique. On connaît ce passage de la Critique de l'École des femmes : « Je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que... de rendre agréablement... | |
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