 | Académie des sciences, lettres et arts d'Arras - 1886
...s'entretenaientfamilièrement » comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et en » toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de » belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait » fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le » communiquait volontiers à tous les autres... | |
 | François Guizot - 1887
...s'entretenaient familièrement comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | François Guizot - 1887
...s'entretenaient familièrement comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | Antonin Fabre - 1890 - 514 pages
...c'était la conversation en usage entre gens instruits et bien élevés. « Là, continue Pellisson, ils s'entretenoient familièrement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belleslettres. » Rien ne manque aux aimables... | |
 | Napoléon Maurice Bernardin - 1891 - 380 pages
...de la ville, d'où tous les autres étaient presque également éloignés. Là, ils s'entretenaient familièrement comme ils eussent fait en une visite...de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres... | |
 | 1897
...s'entretenaient familièrement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | 1902
...recevoir, et au cœur de la ville, d'où tous les autres estoient presque également éloignez. Làils s'entretenoient familièrement, comme ils eussent...souvent, il le communiquoit volontiers à tous les aul.res qui luy en disoient librement leur avis ; et leurs conférences étoient suivies tantost d'une... | |
 | Paul Bonnefon - 1903 - 421 pages
...de la ville, d'où tous les autres étaient presque également éloignés. Là, ils s'entretenaient familièrement, comme ils eussent fait en une visite...toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent,... | |
 | Nicolas Schapira - 2003 - 508 pages
...Aussi faut-il examiner ce qui, aux dires de Pellisson, se passait lors des réunions chez Conrart : « Là ils s'entretenoient familièrement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. »' Pellisson évoque, discrètement,... | |
 | 1935
...d'où tous les autres estoient presque également éloignez. Là ils s'entretenoient familierement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et...toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avoit fait un ouvrage, comme il arrivoit souvent,... | |
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