| Alexander G. Collot - 1847 - 560 pages
...quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont,...ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. Aie. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonnez si bien, Ce flegme pourra-t-il ne s'échauffer de rien... | |
| Adrien Perlet - 1848 - 252 pages
...intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants et des loups pleins de rage. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont,...ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. L'indignation de l'un nous donnerait de sa vertu la plus haute idée, la résignation de l'autre nous... | |
| Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1848 - 740 pages
...opéra en deux actes. N" 5. Louis XI à Pdronne , opéra comique en deux acles; devise : Je praiil* loul doucement les hommes comme ils sont : J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font. MOI.IKIIE. >** 4. .Varie de Hongrie, grand opéra en un acte et deux Ubleaux. V o. Judith, opéra en... | |
| 1849 - 586 pages
...quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont,...ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. Aie. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonnez si bien, Ce flegme pourra-t-il ne s'échauffer de rien... | |
| Alexander G. Collot - 1851 - 546 pages
...quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes comme ils sont,...ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. Aie. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonnez si bien, Ce flegme pourra-t-il ne s'échauffer de rien... | |
| Molière - 1851 - 696 pages
...qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; le prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume...souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la cour, de mime qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. ALCESTE. Mais ce flegme, monsieur,... | |
| François Noel - 1851 - 758 pages
...quoi qu'à chaque pas jo puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; El je crois qu'à la Cour, de même qu'à la ville, Mon llegme est philosophe autant que votre bile.... | |
| Molière - 1852 - 846 pages
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| 1852 - 504 pages
...n'approuve-t-il pas les maximes opposées de Philinte ? Je veux que l'on soit sage avec sobriété... Je prends tout doucement les hommes comme ils sont....J'accoutume mon Âme à souffrir ce qu'ils font... Oui, je vois ces défauts dont votre âme murmure Comme vices unis à l'humaine nature ; Fit mon esprit... | |
| Molière - 1852 - 620 pages
...J'accoutume mon ame à souffrir ce qu'ils fout, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mou flegme est philosophe autant que votre bile. ALCESTE. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonnez si bien i, Ce flegme pourra-t-il ne s'échauffer de rien? Et s'il faut, par hasard, qu'un... | |
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