L'un ne veut point de maître, et l'autre point d'égal. Seigneur, pour sauver Rome, il faut qu'elle s'unisse En la main d'un bon chef à qui tout obéisse. Théatre de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire - Page 309 de Pierre Corneille - 1797 Affichage du livre entier -
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