| William Ireland Knapp - 1863 - 468 pages
...mon amant abhorre ? La coutume, la loi, plia mes premiers ans *A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance, Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris,... | |
| Voltaire - 1867 - 892 pages
...mon amant abhorre? La coutume , la loi , plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance » Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris... | |
| Ernest Fontanès - 1867 - 286 pages
...trait caractéristique de la religion. Écoutez Zaïre : on dirait qu'elle récite une page deLocke. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris,... | |
| Ernest Fontanès - 1867 - 244 pages
...caractéristique de la religion. Écoutez Zaïre : on dirait qu'elle récite une page de Locke. Je Ie vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange escIave des faux dieux, Chrétienne dans Paris,... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1875 - 110 pages
...mon amant abhorre ? La coutume, la loi, pliag mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.i0 J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris,... | |
| Jean Augustin Bost - 1875 - 412 pages
...particulières dans lesquelles ils se trouvent placés. On n'en est plus à la modeste théorie de Voltaire : J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane ert ces lieux. Ce n'est plus du simple fait de la naissance que l'on part aujourd'hui pour décider... | |
| Craufurd Tait Ramage - 1875 - 646 pages
...Zaïre, i. 1. Les soins qu'on prend de notre enfance, Forment nos sentiments, nos mœurs, notre créance, J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux ; Chrétienne dans Paris, Mussulman en ces lieux. L'instruction fait tout ; et la main de nos pères Grave en nos faibles cœurs... | |
| Adolphe Franck - 1875 - 920 pages
...sçachions que nous sommes hommes. » Voltaire, par la bouche de Zaïre, ne parle pas autrement : Je le Yois trop; les soins qu'on prend de notre [enfance Forment nos sentiments , nos mœurs , notre [croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris,... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1877 - 736 pages
...que mon amant abhorre? La coutume, la loi plia mes première ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux. Chrétienne dans Paris,... | |
| François Noel, Chapsal (M., Charles Pierre) - 1877 - 224 pages
...sous-entendus. Toute ellipse qui rend le sens louche ou équivoque est vicieuse ; telle est celle-ci : J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, nmsulniaue en ces lieux... dont le sens semble être : j'eusse été chrétienne dans Paris, J'EUSSE... | |
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