 | Molière - 1812 - 546 pages
...pourroient mieux aller prenant un autre cours ; Ma:s, quoiqu'à chaque pas je paisse voir paroître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être....Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, /accoutume mon âme à soaflrh- ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville,... | |
 | Molière - 1813 - 562 pages
...perfection : II faut fléchir un temps sans obstination; Et c'est nne folie, à nnlle antre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux, aller prenant nn antre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroitre,... | |
 | Molière - 1818 - 556 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie, à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller prenant un autre cours; Ma's,quoiqu';\ chaque pas je puisse voir paroîtrc,... | |
 | Molière - 1819 - 318 pages
...Il fant fléchir an tems sans obstination. Et , c est une fulie a nulle antre seconde , ' . **"" ? De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses Ions les jours t Qui pourroient mieux aller prenant un antre cours. Mais, quoi qu'à chaque. pas je... | |
 | Molière - 1821 - 484 pages
...perfection : 11 faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie , à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours, Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours. ! Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître,... | |
 | 1822 - 848 pages
...[ II faut fléchir au temps sans obstination ; W Et c'est une folie, à nulle autre seconde, J I1e vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe...doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon ame à souffrir ce qu'ils font ; I, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville , > Mon flejcme... | |
 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1823 - 356 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obstination; Et c'est une folie , à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe,...doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon ame à souffrir ce qu'ils font, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est... | |
 | Molière - 1823 - 704 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie, à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître,... | |
 | Molière - 1829 - 660 pages
...fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie , à nulle autre seconde , De vouloir se mêler ds corriger le monde. J'observe , comme vous ^ cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller prenant un autre cours ; Ma's , quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroîtrt... | |
 | Molière - 1831 - 272 pages
...perfection : 11 faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie , à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître,... | |
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II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours... 
