... je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. ...Lettres persanes - Page 44de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1914 - 312 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1896 - 390 pages
...quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'babit 'persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma pbysionomie... | |
| Eugène Aubert - 1897 - 314 pages
...quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville, où je n'étais point connu....d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus... | |
| Lucien Leclair, Clodomir Joseph Rouzé - 1900 - 388 pages
...grande ville où je n'étais pas connu. Ex. 177. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, cl à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il...d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécier au plus juste. Je... | |
| Eugène F. Bauer - 1902 - 556 pages
...quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu....d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement : libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus... | |
| Othon Goepp Guerlac - 1905 - 234 pages
...public gardens of Paris. 2 mêmes for elles-mêmes. To-day the adverb même would be preferably used. grande ville où je n'étais point connu. Cela me...l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, 1 pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître... | |
| Émile Paul Toutey - 1907 - 424 pages
...pas assez vu. très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu....d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement ; libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus... | |
| Léo Claretie - 1907 - 678 pages
...opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le ropos d'une grande vilIe, où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit de Persan, et à en endosser un à I'européenne, pour voir s'iI restait encore dans ma physionomie... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pages
...quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre 5 à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore... | |
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