| Jean de La Fontaine - 1851 - 480 pages
...mâtins du troupeau. Le renard, ayant mis la peau, Répétait les leçons que lui donnait son maître. D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien; Puis enfin il n'y manqua rien. A peine il fut instruit autant qu'il pouvait l'être, Qu'un troupeau s'approcha. Le nouveau loup y... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1851 - 648 pages
...qu'en morale de dire : Je pécherai , sauf à me repentir ; et si le fabuliste a dit: « D'a« bord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien, « puis enfin il n'y manqua rien, » il entendait qu'en s'y prenant mal , on s'y prend pourtant du mieux qu'on peut, ce qui est l'essentiel.... | |
| comte Joseph Marie de Maistre - 1851 - 722 pages
...autres commis de la nation; mais, laissez-les faire , ils se formeront. C'est l'animal de la Fontaine : D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien; Puis enfin H n'y manqua rien. (2) Belle division des biens du clergé ! les uns lui sont parvenus, et les autres... | |
| Félix Lacointa - 1856 - 596 pages
...l'art de bien dire est difficile ; mais apprenez toujours ; souvenez- vous de ce que dit La Fontaine : D'abord, il s'y prit mal ; puis, un peu mieux ; puis, bien ; Puis, enfin, il n'y manqua rien. » IV. — Baccalauréat èa-sciencea. — Session de décembre 18ou. SUJETS DE COMPOSITION. Du 17... | |
| Louis Eugène Hatin - 1859 - 534 pages
...qu'Apollon sut échauffer sa veine. Il avait d'abord pris pour devise ces deux vers de La Fontaine : D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien ; Puis enfin il n'y manqua rien. Il les remplaça ensuite par ce vieux proverbe, commenté: Fit fabricando faber (Fit lunaticando lunaticus)... | |
| Charles-Pierre Girault-Duvivier - 1859 - 736 pages
...dernière syllabe. Dans la gradation, l'intonation doit toujours aller en croissant à chaque degré : « D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis « bien; puis enfin il n'y manqua rien. » Dans l'interrogation, l'intonation sera élevée, et il y aura de la vivaeité dans le récit :... | |
| Jean de La Fontaine - 1859 - 572 pages
...mâtins du troupeau. Le renard, ayant mis la peau, Répétait les leçons que lui donnait son maître. D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien ; Puis enfin il n'y manqua rien. A peine il fut instruit autant qu'il pouvait l'être , Qu'un troupeau s'approcha. Le nouveau loup y... | |
| 1860 - 614 pages
...scindé en deux racines. (') Ce verset naïf a la même physionomie que ces vers de Lafontaine : « D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien; » Puis enfin il n'y manqua rien. » (5) Cf. Job, i , 3. Gescnius : Un domestique nombreux. Une vieille traduction : Grande mesgnie.... | |
| Jean de La Fontaine - 1861 - 736 pages
...mâlins du troupeau. » Le renard, ayant mis la peau, Répétoit les leçons que lui donnoit son maître. D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien, Puis enfin il n'y manqua rien. A peine il fut instruit autant qu'il pouvoit l'être, Qu'un troupeau s'approcha. Le nouveau loup y... | |
| ... Delaville-Dedreux - 1863 - 88 pages
...fabuliste s'appliquent admirablement au premier réalisateur d'une idée nouvelle : II s'y prit d'abord mal, puis un peu mieux, puis bien ; Puis enfin il n'y manqua rien. Or nos aéronautes parmi lesquels il y avait un prince du sang (1) s'y prirent d'abord mal et on les... | |
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