L'homme, qui ne peut que par le nombre, qui n'est fort que par sa réunion, qui n'est heureux que par la paix, a la fureur de s'armer pour son malheur et de combattre pour sa ruine : excité par l'insatiable avidité, aveuglé par l'ambition encore plus... Beyrout et le Liban: relation d'un séjour de plusieurs années dans ce pays - Page 27 de Henri Gûys - 1850 Affichage du livre entier -
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