| William Ireland Knapp - 1863 - 500 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais5 quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mie en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais... | |
| 1864 - 516 pages
...instant l'attention et l'estime publique, car j'entrais tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Edward A. Oppen - 1864 - 368 pages
...l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Edward A. Oppen - 1864 - 344 pages
...l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1866 - 444 pages
...qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai lout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un par hasard apprenoit.à la compagnie • que j'élois Persan, j'entendois aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1866 - 582 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche ; mais , si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Paul Guesdon - 1867 - 352 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement:... | |
| Antonin Roche - 1867 - 584 pages
...instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion 3 d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan,... | |
| Maximilian Schele de Vere - 1867 - 162 pages
...j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût mis en occasion" d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
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