| Émile Paul Toutey - 1907 - 424 pages
...l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant * affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnia que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Léo Claretie - 1907 - 678 pages
...l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais, si queIqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais» Persan, j'entendais aussitôt autour... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pages
...10 l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche. Mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Émile Faguet - 1912 - 860 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de 'moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1912 - 462 pages
...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche '. Mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais autour de moi un bourdonnement : « Ah !... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1912 - 200 pages
...plus d'une heure à sa toilette? (33. 6). Also 57. 18 ; 65. 35 ; 70. 2. Et used instead of ni : — sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche (21. 7). Also 35. 10. Ou used instead ofrA : — il ne peut souffrir que la France ait gagné des batailles... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu, Henri Auguste Barckhausen - 1913 - 372 pages
...valois réellement : libre de tous les ornemens étrangers, je me- vis apprétié au plus juste. 30 J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit...qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion 35 d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un, parhazard, apprenoit à la compagnie que j'étois Persan,... | |
| Maurice Grammont - 1914 - 248 pages
...l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout a coup dan(s) z un néan(t) affreux. Je demeurais quelquefoi(s) un(e) heure dan(s) ; une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût nuVs) en n occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, parbasar(d), apprenni(t) à la compagnie... | |
| Henri Adolphe Pauthier - 1919 - 472 pages
...instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 pages
...l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion (7J d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais persan,... | |
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