JUAN. Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. Molière - Page 217de Eugène Pierre Marie Rigal - 1908 - 333 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1848 - 1078 pages
...arithmétiques, et que, comme don Juan, il résumerait volontiers en ces deux articles le symbole de sa foi : « Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. » Tous ces pièges maladroits de grammairien scholastique seraient encore au-dessous du dédain d'un... | |
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