Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte, enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus... Les confessions - Page 194de Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 763 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Alfred G. Havet - 1887 - 436 pages
...de tout cela. Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant 4 dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étais las"; je m'en aperçus...voluptueusement sur la tablette* d'une espèce de niche 7 ou d'arcade enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des... | |
| Gustave Merlet - 1889 - 800 pages
...tout cela. Absorbé dans ma douce rôvcrie, je prolongeai Tort avant dans la nuit mn promenade, suns m'apercevoir que j'étais las ; je m'en aperçus enfin....voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou d'arcade enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les tètes des arbres... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1891 - 674 pages
...qu'il passe à la belle étoile au bord du Rhône ou de la Saône, dans un chemin creux près de Lyon : Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une...terrasse : le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de moi, je m'endormis à son chant;... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1891 - 602 pages
...j'étois las. .le m'en aperçus entin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espéce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit étoit formé par les têtes des arbres ; un rossignol étoit précisément au-dessus de moi : je m'endormis... | |
| Alphonse Naus Van Daell - 1893 - 344 pages
...rêverie•, je prolongeai fort avant dans la mût ma promenade sans m'apercevoir que j'étais là ; je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou d'arcade enfoncée dans un mur terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres... | |
| Alphonse Naus Van Daell - 1893 - 344 pages
...douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que /étais là ; je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espece de niche ou d'arcade enfoncée dans un mur terrasse ; le 'ciel de mon lit était formé par... | |
| Louis Ducros - 1894 - 252 pages
...prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en apercus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette...terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son chant.... | |
| Gustave Merlet - 1901 - 800 pages
...rêverie, je prolongeai tort avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étais las. le m'en aperçus enfin ; je me couchai voluptueusement...terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-desius de moi: je m'endormis à son chant;... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 444 pages
...d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus...terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément audessus de moi : je m'endormis à son chant;... | |
| 1909 - 876 pages
...rêverie, je « prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans « m'apercevoir que j'élais las. Je m'en aperçus enfin. Je me « couchai voluptueusement...terrasse ; le ciel « de mon lit était formé par les têtes des arbres ; un rossignol « était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son «... | |
| |