 | Jean Racine - 2000 - 470 pages
...jurez-vous pas d'être toujours fidèle? JOAS Pourrais-je à cette loi ne pas me conformer? JOAD O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez...l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. 1390 Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple obéissent aux rois;... | |
 | Anne Penesco - 2005 - 646 pages
...Lévites, devenant « fiévreux » puis « suffoqué par l'émotion » quand il s'adresse à Joas : Ô mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez...larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes 4. « II se ressaisit graduellement et entraîne l'enfant royal à l'écart pour lui donner ses derniers... | |
 | Jean Racine - 1871 - 130 pages
...Pourrais-je à cette loi ne me pas conformer? Joad. O mon fils ! de ce nom j'ose encor vous nommer, 1385 Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes...empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, 1390 Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes... | |
 | 1920 - 674 pages
...orphelin. Surtout le roi se persuadera des dangers de son état, non pour le fuir, mais pour les dominer. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas...empoisonneur, De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse... C'est sans doute la plus longue tirade politique de Racine ; ceux qui la trouveront hardie n'auront... | |
 | François-Joseph-Marie Fayolle - 1807 - 336 pages
...jamais. • En citant la leçon si touchante et si belle que le grand-prêtre adresse au jeune roi, O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer: Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'anacU«nt pour vous de trop justes alarmes. Lrhi du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous... | |
 | 1975 - 204 pages
...jurez-vous pas d'être toujours fidèle? JOAS. Pourrais-je à cette loi ne me pas conformer? JOAD. O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes 1385 Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur Hélas... | |
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