 | Michel de Montaigne - 1854 - 668 pages
...l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que i'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant délicat et peigné , comme véhément et... | |
 | Michel de Montaigne - 1854 - 502 pages
...l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que i'ayme. c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la boucbe ; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant delicat et peigné, comme vehement... | |
 | Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 362 pages
...fnçon l'imagination de celui qui écoute, qu'il n'ait aucune souvenance des mots. Le parler que j'aime, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tunt délicat et peigné comme véhément et... | |
 | Jacques Demogeot - 1855 - 700 pages
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenance des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche , un parler succulent et nerveux , court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et... | |
 | François de Bigorio de Laschamps - 1860 - 518 pages
...rancune de Pasquier, son ami pour.tant et son admirateur sincère. Le parler qu'aime Montaigne est « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné comme véhément et brusque;... | |
 | Jacques Claude Demogeot - 1860 - 700 pages
...écoule, de façon qu'il n'ait aucune souvenance des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un papier succulent et nerveux, court et serré , non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
 | Adolphe Mazure - 1861 - 376 pages
...remplissent l'imagination de celui qui écoute, de façon qu'il n'aye aulcune soubvenance des mots. Le parler que j'ayme c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'en la bouche. Montaigne compare les idées aux pièces d'un jeu d'échecs, lesquelles pièces représentent... | |
 | Michel de Montaigne - 1862 - 502 pages
...l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que i'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré ; non tant delicat et peigné, comme vehement et... | |
 | Revue nationale et étrangère - 1865 - 520 pages
...qui se parlent à certains étages de la société, et il cite à ce propos le mot de Montaigne : « Le parler que j'ayme c'est un parler simple et naïf tel sur le papier que sur la bouche. » J'en ai conclu qu'il allait nous donner une collection de mots et de locutions... | |
 | Alfred Delvau - 1866 - 558 pages
...Mémorial ta congrtss, et le dernier dans son roman de Paul Clifford ? (i) « Le parler que i'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant délicat et peigné, comme véhément et... | |
| |
Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné comme véhément et brusque... 
